NOTES
Il les dénonce très indirectement en faisant dire cela à Eschyle dans la suite du texte dont Hugo emploie le début beaucoup plus loin (II, 6, 1 voir la note à « ressembler aux grands hommes ») et que cite Pierron (ouvrage cité, p. XLV):
« Orphée a enseigné les saints mystères et l'horreur du meurtre; Musée, les remèdes
des maladies et les oracles; Hésiode, l'agriculture, le temps des récoltes et des semailles. Et ce divin Homère,
d'où lui est venu tant d'honneur et de gloire, si ce n'est d'avoir enseigné des choses utiles: l'art des batailles, la
valeur militaire et le métier des armes?
« Mais il en a formé bien d'autres, et de braves; et, dans ce nombre, Lamachus le héros. C'est d'après Homère que j'ai représenté les exploits des Patrocle et des Teucer au coeur de lion, pour inspirer à chaque citoyen le désir de s'égaler à ces grands hommes, dès que retentira le son de la trompette. Mais, certes, je ne mettais en scène ni des Phèdres prostituées ni des Sthénobées; et je ne sais si j'ai jamais représenté une femme amoureuse. »